Tout a commencé quand j'ai recommencé a travailler ;
Faire de la sécurité ok, mais en maître chien...
Je recherché donc un loulou pour partagé mes nuits et ma vie...
J'ai posé une annonce, ton maître y a répondu...
C'était fin novembre 2007.
Tu es à Poitiers, moi à Paris...
Rendez vous est pris pour le 1er décembre à la gare.
Quand je t'ai vu j'ai compris que c'était toi qu'il me fallait
On me traité d'inconsciente de vouloir travaillé avec toi
« Un chien ne s'adapte pas en si peu de temps »
Moi j'y ai cru
J'ai eu raison, première nuit de travail seul tout les deux,
On apprend a se connaitre...
La seconde, une personne tente de s'approcher, tu t'es de suite interposé
Comme si on se connaissait depuis des années...
Les nuits se sont enchaînées..
Toi et moi nous sommes liés.
Tu avais été maltraité mais tu faisais tout pour me protéger.
On en a fait des longues journées.
Tout ce que tu me demandé, c'était d'être avec moi...
On m'a dit que tu étais un chien de lignée beauté...
Je sais que c'était vrai ;
Pour moi, même si tu étais superbe,
Ta plus grande beauté été à l'intérieur...
On a fait des chantiers, des spectacles, des forets, des collèges...
Tu ne m'as jamais lâché.
Je ne sais pas si tu savais a quel point je t'aimé ?
A la maison tu étais si calme,
Couché devant ton u.c.
Les enfants chahuté,
Jamais tu n'as grogné...
Ce matin en te voyant ainsi,
Jamais je n'aurais cru que ta vie
Se finirait aujourd'hui.
Le lendemain de tes deux ans.
La maladie t'a emporté
Comme ça lâchement
Sans prévenir.tu es tombé, as convulsé..
Pour ne jamais te relevé.
Le vétérinaire m'a informé
Ton état empiré
Il faillit te dire au revoir
Car nous ne savions pas si tu souffrais...
Il a tout fait pour te sauver ;
Je suis sur que tu t'es battu tant que tu pouvais.
Je suis donc venu avec Vanessa.
Le veto m'a proposé de te laisser
Mais toi tu ne m'as jamais laissé
Je suis donc resté
Je t'ai caressé en te disant
A quel point tu allais nous manquer
Comme je te remercier
Et à quel point je pouvais t'aimer.
Il a commencé a injecté ce maudit produit dans tes veines,
Je t'ai vu arrêté de convulser,
Te calmer,
Moment de folie,
J'ai cru que tu étais guéri
Mais tes yeux se sont fermés
Ton cœur de battre s'est arrêté
Et pendant que je te câliné,
Calmement tu t'en es allé.
J'espère que la ou tu es,
Tu as le repos que tu mérites.
Que tu ne souffres plus
Sache que tu vas nous manquer
Et que jamais je ne pourrais t'oublié.
Tu me manques déjà tellement.
Je ne sais comment je vais dire a mimi
Que tu n'es plus,
Lui qui n'as pu te dire au revoir
Alors qu'il t'aimait tant.
Tout ce que je sais
C'est que jamais nous ne pourrons te remplacer ;
Ni combler le vide que dans nos cœurs tu as laissé.
En te perdant j'ai perdu quatre personne en une
Mon ami,
Mon chien,
Mon collègue,
Mon bébé.(et oui même si certains trouve cela extrême)
Banzay tu nous manque repose en paie.
Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerais.
Comme on dit chez nous,
On se reverra la haut, attends nous s'il te plait.